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leven // we are the lifeless stars

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Corey Wilcox

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leven // we are the lifeless stars
( Ven 5 Mai - 16:33 )

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@leven madden

Il s’est échappé de l’appartement le plus silencieusement possible, mimant à Peaches de faire de même afin de ne pas réveiller Art dont les nuits sont perturbées et qui, après sa colère contre Mémé Patmore et ses récents post Instagram, a bien besoin de repos. La chienne a cru qu’elle serait invitée à le suivre et il n’a pu que croiser ses grands yeux tristes quand la porte s’est refermée devant elle — Corey, il a eu un pincement au coeur mais là, il a besoin de s’aérer l’esprit, de se vider complètement la tête et du soutien d’un autre être humain et non pas de sa boule de poils. Et là où il va, Peaches serait de trop, trop en demande d’attention, trop brutale, trop pressée, alors il préfère s’y rendre seul, Corey. Il n’a même pas prévenu Liv qu’il arrivait, la décision prise sur un coup de tête, juste quelques heures avant son prochain entretien d’embauche pour lequel il part déjà défaitiste (après tout, ce ne serait que le, quoi, vingtième depuis qu’ils ont appris pour la grossesse, depuis qu’il s’est mis un coup de boost pour trouver un emploi) alors il a les épaules qui tombent et peu d’engouement dans sa démarche. Mains dans les poches, il traine le pas jusqu’à rejoindre le pied de l’immeuble de son pote, où il sonne. « Open up, this is your dream buddy. » Et il s’efforce, Corey, d’avoir l’air enjoué, de prendre un ton qui se veut léger quand il sait que Leven le connaît bien trop pour se faire avoir. La porte ouverte, il n’hésite pas avant de grimper, rentre dans l’appartement comme si c’était chez lui, offre une moitié de sourire à son pote. « J’ai besoin de ton aide, toutes mes belles chemises sont encore en train de sécher et celle que je réservais pour aujourd’hui… Eh bien, Whit a décidé de faire ses griffes dessus hier soir, t’en auras une à me dépanner ? » Il se racle la gorge, Corey, frotte sa marque de naissance avant d’aller se laisser tomber sur le canapé, les jambes étendues devant lui et un bras sur le dossier. « T’as le temps de chercher hein, mon entretien est pour dans… » Petit regard à sa montre. « Trois heures. » Il laisse sans chercher à l’aider, rejette la tête en arrière et ferme les yeux. « Oh et si tu pouvais éviter de me sortir un truc de chippendale, je t’en serai gré. » Le coin de ses lèvres se relève légèrement mais la taquinerie est trop évidente, trop facile — loin d’être digne de son humour, donc, et plus encore de sa réputation.
Il attend d’entendre Leven de retour pour soulever une paupière, se redresse légèrement. « Désolé. De, de débarquer comme ça, à l’improviste. J’espère que je t’ai pas réveillé. Ni dérangé. » La grimace s’empare de ses traits alors qu’il se lève, se dirige vers la cuisine pour faire couler du café, les coudes qui trouvent repos sur le plan de travail tandis qu’il se pince le nez, se frotte les tempes. « Merci, au fait, de me dépanner. Je te revaudrai ça. » Quand il aura décroché un job — s’il en décroche un, se retient-il de penser, déjà persuadé que la réaction de l’employeur sera la même que les précédents, que découvrir qu’il va être papa dans à peu près six mois les freine, parce que qui sait s’il ne voudra pas prendre un congé paternité rallongé (il le voudra, Corey n’a aucun doute là-dessus, il compte bien soutenir Art plus que deux jours) et puis, comment pourrait-il être pris au sérieux quand il se doit d’annoncer que sa copine est enceinte mais qu’il est au chômage depuis des mois. Ce serait peut-être passé à vingt ans, ça ne passe définitivement pas à trente-trois. Il récupère sa tasse, interroge Liv du regard pour savoir s’il doit lui en faire couler un aussi. « Putain, le bébé est même pas né et j’suis déjà le pire père de l’année, t’y crois, toi ? Comment je vais réussir à m’en occuper si je galère à trouver un job ? On peut pas tenir sur le salaire d’Art surtout qu’elle veut reprendre ses études et ça lui ferait du bien. » Ce serait toujours mieux que de devoir composer avec les ivrognes chaque soir, en tout cas. Moins stressant pour elle, des horaires plus adaptables, aussi — et lui, il assurera quand elle sera en période d’examen, quand elle aura besoin de silence pour étudier. C’est pour ça qu’il se fait difficile avec les offres d’emploi, il ne peut pas prendre n’importe quoi, Corey. Ce n’est pas seulement la paie qui importe, ce sont les horaires, la maniabilité de celles-ci. Il veut quelque chose qui lui permettre d’être un père présent et pas juste une ombre qui laisse un vague parfum derrière lui.
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Leven Madden

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Leven Madden

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Re: leven // we are the lifeless stars
( Mar 9 Mai - 14:07 )


we are lifeless stars


Il est tôt, le soleil paresse encore derrière les immeubles, les tours qui peu à peu s’éveillent. Leven a déjà saisi son enveloppe, ses affaires. Une capuche sur la tête, s’engouffrant dans les rues encore sombres de la ville. Les mains enfoncées dans la poche ventrale de son sweat-shirt rose, en quête du vélo qu’il a emprunté à Calum. Le guitariste du Cosmic Burn n’en avait plus l’utilité pour le moment. Contrairement à lui avec Suzie, sa vieille épave au garage. Entre les mains d’Hadès… bref, il finit par tomber nez à nez avec l’engin et cherche déjà la clé du cadenas dans sa poche. Il est à peu près sûre que c’était là qu’il l’avait fourré mais il a entièrement retourné ses poches à présent, et toujours rien. La clé a dû s’égarer quand il s’était déshabillé. «Putain..» L’hôtel qu’il vient de quitter est à quelques rue plus loin et à dire vrai, sans la moindre once de caféine dans ses veines, il n’avait absolument pas l’énergie d’y retourner. Alors il prend sur lui de s’accroupir, cherchant dans son sac dans lequel il a en boule rangé ses fringues de la veille pour trouver son calepin noir. Noirci de ses idées de composition, Leven tache de ne jamais s’en séparer. Ne sachant jamais quand lui prendra l’envie de noter une inspiration. Il tire le trombone qui retenait quelques pages volantes et s’applique ainsi à crocheter la serrure. A errer si longtemps dans la rue, on finit par apprendre quelques petits trucs pratiques. Comme celui-ci. Satisfait, il se sourit encore à lui-même quand il enfourche sa bécane pour pédaler jusque chez lui. L’air frais du matin, lui fait du bien. Mais il se sentirait bien mieux après une bonne douche chaude et une bonne grosse tasse de café.

Leven n’aurait visé plus juste bien qu’il ait légèrement froid dans ce peignoir en satin noir et un simple caleçon. Le musicien a pris le temps de s’enduire de crème, sa peau de lait apaisée. Le suçon de sa dernière conquête, toujours vif sur son cou mais les traces de doigts de son client d’il y a une semaine, ne sont qu’à peine perceptibles. Il ne s’en inquiète, Leven. Ces marquages sont éphémères contrairement à nombreux autres sur son corps. La tasse de café brûlante et fumante dans sa main lui apporte une pointe confortable de chaleur. Et le joint qui fume dans son autre main vient s’ajouter à son confort. Il n’a plus sommeil, Leven. Son client s’était cassé après sa besogne et lui avait laissé finir sa nuit dans la chambre. Épuisé, il s’était autorisé l’inertie méritée. Les fenêtres de sa chambre ouverte derrière lui. Il s’était hissé sur la terrasse, étant au derrière étage, la vue était assez sympa. Elle n’était pas bien grande la terrasse, mais il avait pu disposer quelques palettes pour se bricoler un petit sofa. Sans l’aide de Corey, il n’y serait probablement jamais arrivé. Leven n’avait pas manqué d’abattre encore une fois le marteau sur son doigt. Comme il l’avait encore fait en montant l’estrade avec les membres du groupe. A croire qu’il pouvait exceller sur ses instruments avec ses dix doigts mais qu’il n’était juste bon à rien avec des outils. Pas comme Hadès… L’interphone retentit, même dehors, il peut l’entendre. Ce truc de merde sonne tellement fort qu’il ne peut pas le louper. Qui ça peut bien être à cet heure aussi matinale ? C’est ce qu’il se demande en laissant tout ce qu’il avait dans les mains sur le mini tabouret qui sert occasionnellement de table pour dévaler les escaliers. Il en vient à la conclusion que c’est peut-être Corey, comme ça aurait pu être d’autres personnes s’il n’avait pas été si bonne heure. Quand un peu essoufflé il finit par décrocher, sa supposition se confirme. Dream Buddy… il sourit, il ouvre. Qu’est-ce qui peut bien l’amener ? Peu importe de toute façon, il n’y a pas forcément besoin de raison et il n’avait rien à faire en particulier pour l’instant. Il avait bien une répétition plus tard dans l’après-midi mais ce n’était vraiment pas immunent. Alors cette visite tombe même très bien. Leven en reste tout de même intrigué. Il a tout juste le temps d’aller récupérer la moitié de joint qu’il a laissé sur la terrasse. Le cafe, il l’englouti d’une traite en redescendant les escaliers où Corey franchi tout juste la porte d’entrée. Le sourire qui naît sur les lèvres de son ami, déjà, à moitié fané. D’entrée de jeu, il a connu son ami beaucoup plus enthousiaste. Leurs regards se croisent à peine que les lèvres de son ancien colocataire se délient pour lui expliquer son problème. « J’ai besoin de ton aide, toutes mes belles chemises sont encore en train de sécher et celle que je réservais pour aujourd’hui… Eh bien, Whit a décidé de faire ses griffes dessus hier soir, t’en auras une à me dépanner ? », c’est donc ça. Une chemise, il a dit ? Peut-être qu’il aurait eu un peu plus de chances de la trouver s’il avait à la place rendu visite à Esras.  Mais non, c’est lui que Corey est venu voir. Il doit le savoir parce qu’il s’amuse bien trop souvent à comparer la taille de ses biscottos à la tête de Leven. Il y a peu de chance qu’il ait là-haut dans son petit dressing qui débordent pourtant d’habit, voire impossible, quelque chose qu’il pourrait emprunter. Avec Joyce et Jill, le musicien ne buterait pas contre ce détail mais là, c’est différent. Il s’agit de Corey. Et il n’a clairement pas l’air dans son assiette. Son ami vient se laisser tomber dans le canapé. Le brun en profite pour remarquer qu’il a l’air épuisé. Stressé, peut-être? En même temps, à sa place, lui aussi il le serait. Pour autant, Leven sait que s’il y a bien une personne entre eux deux qui pouvait se tirer de cette affaire avec brio. Ce serait Corey. Il avait ce truc en lui. Cette volonté de bien faire et d’élever tout le monde avec lui. Corey avait cette force lumineuse, aimante et bienveillante. « T’as le temps de chercher hein, mon entretien est pour dans…Trois heures. », alors il ne voit plus l’intérêt de rester planter en bas de ses escaliers pour le moment. Il dépose sa tasse de café vide sur la table basse et le reste de son pétard sur un bord du cendrier. «Well, good morning to you too Sunshine.», il s’installe à côté de lui, Leven. L’observe reposer sa tête et fermer brièvement les yeux. Il voit un coin de ses lèvres s’étirer et il sait déjà qu’il va dire une connerie. « Oh et si tu pouvais éviter de me sortir un truc de chippendale, je t’en serai gré. », ses épaules de secouent de ce léger rire qu’il ne retient pas. « T’es sûre? Non parce que j’ai quelques contact très sympas qui disent que ça paie assez bien!», il se lève doucement du canapé vers la cuisine ouverte pour sortir du lait et du sucre. Reposant toujours silencieusement sur le canapé, il peut le voir de là où il est qu’il a besoin d’un bon café. « Puis t’imagines, tes muscles tout saillants, tout brillants. Moulé dans une petite lingerie en dentelle.», son imagination est fertile ce matin mais il a vu que quelque chose clochait. Comme à son habitude, préférant désamorcer avec une dose d’humour.

Le nez dans le réfrigérateur, c’est quand il le referme qu’il voit son ami s’approcher pour mettre en marche la cafetière. « Désolé. De, de débarquer comme ça, à l’improviste. J’espère que je t’ai pas réveillé. Ni dérangé. », depuis quand est-ce qu’il s’inquiète de ce genre de futilité. Il hausse simplement les épaules en roulant ses prunelles vers le plafond. Corey est vraiment à côté de ses pompes, ce matin. Mais il ne dit rien, Leven. Se contente de sortir des placards des tasses, le sien avec un fond de lait, cette fois. « Merci, au fait, de me dépanner. Je te revaudrai ça. », il accepte les remerciements. Parce que s’il ne risque pas de lui prêter une chemise aujourd’hui, il avait tout de même eu le temps de discuter avec Jackson le concernant. Parce qu’il n’a pas besoin qu’il lui dise pour comprendre qu’il panique totalement de ses prochaines responsabilités à venir. Qu’il l’a entendu suffisamment parlé d’entretien et des râteaux qu’il se prenait pour savoir que ça commençait à lui peser. Au bout du quarantième entretien et l’échéance réduisant de jour en jour… Il n’avait pas besoin d’être un génie pour deviner sa pression. Ce n’était quand même pas rien, il allait être papa. Avoir la vie de quelqu’un entre ses mains et contrairement à leurs propres pères, il sait que Corey aura à cœur de faire ça bien. «En parlant de ça…», il s’interrompt pour répondre à la question silencieuse de son ami en poussant vers lui sa propre tasse. « Putain, le bébé est même pas né et j’suis déjà le pire père de l’année, t’y crois, toi ? Comment je vais réussir à m’en occuper si je galère à trouver un job ? On peut pas tenir sur le salaire d’Art surtout qu’elle veut reprendre ses études et ça lui ferait du bien. », ok… Ça fait beaucoup d’un coup, il a presque la sensation de sentir cette boule grossir dans son ventre rien qu’à l’entendre parler.  «Bon, d’abord, t’es pas le pire père de l’année. Tu sais très bien qu’il y a bien pire qu’un futur père qui veut tellement bien faire qu’il n’en dort plus.”, oui, il a remarqué ses cernes. C’est ce qu’il lui dit tout en ajoutant trois cuillères de sucre dans son café. Sa tasse en main, il repart dans le canapé. «Et pour le job, j’ai peut-être un plan pour de dépanner.», il a un léger rire en tapotant la place à côté de lui. «Et même si je pense que tu te ferais des couilles en or, c’est pas pour te proposer d’être chippendale.», hilare, il tente tout de même de le rassurer. «J’ai parlé avec Jackson quand je suis allé les voir ce week-end. Enfin t’sais comment ils sont, ils demandaient de tes nouvelles.», surtout après tout ce qui s’était passé dernièrement avec mémé. Corey était un peu le fils que Caitlin et Jackson avaient mérités. «Il a dit qu’il avait peut-être un truc pour toi, tu devrais l’appeler.», Corey a de toute façon déjà le numéro de sa famille adoptive. Surtout depuis sa disparition.


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Re: leven // we are the lifeless stars
( Sam 20 Mai - 12:14 )


Il ne prend plus conscience de rien, Corey, dès qu’il est confortablement assis sur le canapé. Déconnecté, les angoisses plus vives que précédemment et l’envie d’en discuter sans savoir comment aborder le sujet — ni être certain de ce qui provoque cette émotion qui lui serre le coeur, qui forme une boule dans sa gorge, qui l’empêche de pouvoir se regarder correctement dans les miroirs le matin ou d’offrir un sourire franc à Art de peur qu’elle lise en lui si facilement, qu’elle devine ce qui le trouble, ne veuille en parler (et il a conscience, au moins un peu, de se montrer contradictoire mais ce n’est pas sa préoccupation, actuellement, et puis ce n’est pas à Art qu’il a envie de se confier non pas parce qu’il ne lui fait pas confiance, au contraire, pour ne pas lui rajouter un poids supplémentaire sur les épaules, pour ne pas l’alourdir d’une énième de ses conneries, ne pas lui mettre la pression quand elle est celle qui fait déjà tant dans leur famille naissante, et qu’elle est, de surcroît, celle qui devrait pouvoir souffler et se reposer et ne surtout pas se stresser et encore moins par sa faute à lui), alors il profite d’être chez Liv pour se vider l’esprit, penser à autre chose, ne plus se faire ronger de l’intérieur comme ça lui arrive un peu trop souvent dernièrement — depuis un an, même plus que ça. Il imagine Liv être monté dans sa penderie, fouiller dans ses vêtements et il attend, Corey, il patiente tranquillement, les yeux clos et la respiration un peu plus calme. Il croit sentir le coussin à ses côtés s’affaisser légèrement mais il n’y prête pas attention et c’est la voix de Leven toute proche qui lui arrache un sursaut, l’oblige à soulever les paupières et à se rendre compte qu’il n’est allé nulle part, n’est revenu avec aucune chemise. Le sourire se fait plus large à la réplique de son pote. « Calme tes fantasmes, Madden, je sais que tu serais le premier à m’encourager dans cette voie-là mais je ne tiens pas à laisser d’autres mains que celles d’Art me tripoter. Même contre de l’argent. » Même contre beaucoup d’argent, de ce qui est dit — et si l’idée l’amuse (au moins pour pouvoir danser et peut-être ainsi retrouvé un certain déhanché et sens du rythme), il est plus pudique de Leven quand il est question de son corps. Se foutre torse nu pour faire de la musculation ne le dérange pas, mais c’est généralement dans une salle privée ou bien avec ses propres instruments chez lui, pas sous le regard des autres. Des yeux, il a suivi Leven et il le rejoint à son tour dans la cuisine, complétant le geste amorcé du café.
La gêne s’est installée.
Celle de débarquer sans prévenir, avec une demande qui est ridicule, il en prend maintenant conscience tandis que sa stature est positionnée à côté de Leven et il aurait sans doute du aller voir Åke ou Es, plutôt que celui qu’il considère comme un frère.
Celle d’avoir conscience de ne pas être complètement dans son assiette.
Celle d’avoir l’impression de s’imposer sans véritable raison, juste pour tenter de faire passer le stress pré-entretien, cette angoisse qui monte parce qu’il le sait, Corey, qu’il n’obtiendra pas davantage ce job que les précédents. Il le sent au fond de lui, sans pouvoir se l’expliquer. Et peut-être que ça vient de lui — ça doit bien venir de quelque part et, visiblement, puisque le reste du monde arrive à trouver et garder un emploi, la seule variable en commun avec ses échecs, c’est lui.
Comme toujours.
Il inspire, essaie de garder ses doutes pour lui mais il explose. Il y en a trop, de doutes. Il ne sait plus faire le tri, Corey. Il ne sait plus si c’est le fait de ne pas être à la hauteur pour l’enfant à naître ou celle d’être un conjoint minable ou celle de ne pas réussir à rester un employé correct ou si c’est l’ensemble qui le ronge. Il s’y perd, entre ses impressions, ses convictions, ses certitudes. Il baisse la tête et les mots s’enfuient dans les airs, impossible à retenir, à présent. Il y a de la colère contre lui-même, la même déception que celle qu’il ressent depuis près de dix ans. Le souffle tremble de la pression qu’il se met lui-même. Il est las, Corey. Las de sentir ainsi sans parvenir à sortir de ce tourbillon dans lequel il est pris. La main passe sur son visage comme pour effacer les traces de ses insomnies soulignées par Leven. Il a un rire sec, peu convaincu mais se tait. « Je… Je peux pas te demander à Jackson de me trouver du boulot, » qu’il se défend, un peu trop fier pour demander de l’aide à d’autres (et plus encore à ces qui sont de vrais adultes dans son esprit coincé entre deux âges). « Je suis censé être adulte et savoir me débrouiller tout seul. » Il sait qu’il se justifie dans le vent, que ce n’est qu’une proposition, peut-être juste une voie sur laquelle le mettre sans promesse faite derrière. Il ne devrait pas avoir besoin de se sentir forcé d’expliquer quoique ce soit. C’est plus fort que lui. Ce besoin de se démerder sans l’aide de personne, de prouver à ceux qui ont douté de lui (qui doutent encore) qu’ils avaient tort de le faire quand, visiblement, c’est lui qui a tort de croire qu’il peut tout faire tout seul.
« Ca se voit tant que ça ? Que je dors pas beaucoup. » Il grimace, s’inquiète qu’Art ait pu le noter elle aussi et que ça lui cause du stress supplémentaire — c’est qu’il fait tout ce qui est en son pouvoir pour que ça n’arrive pas.
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