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Ah, there he is. That motherfucker. (Amélia)

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Ryan Palmer

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Ah, there he is. That motherfucker. (Amélia)
( Dim 7 Mai - 16:18 )


Lassé de manger des sandwichs, Ryan considère la préparation d’un énorme plat de lasagnes. Il prépare sa liste de courses en veillant à bien noter les quantités dont il a besoin, puis il part explorer le supermarché au coin de sa rue avec un sac sur le dos. Ryan perd de vue sa liste de courses et s’enflamme en ajoutant à son panier des produits dont il n’a pas besoin. Panier qui devient rapidement trop petit pour tous ses achats. Ryan y voit là une limite, et sort du magasin avec un sac à dos plein à craquer et un sac cabas un peu plus léger à la main. Une fois chez lui, il ne prend pas la peine de ranger les courses. Ryan se lance en cuisine, et il sous-estime un peu le temps dont il a besoin pour faire des lasagnes. Chaque étape lui paraît incroyablement compliquée. Il s’octroie une pause entre chaque, plus ou moins longue en fonction de sa flemme. Pendant la cuisson de la sauce, Ryan s’occupe de ses plantes en les arrosant, en les choyant. Peut-être qu’il oublie aussi sa bolognaise sur le feu. Google estime qu’un humain peut préparer des lasagnes en deux heures. Cette estimation ne s’applique pas à Ryan. Au bout de deux heures, il commence tout juste la sauce béchamel. Il la rate, d’ailleurs, mais il n’a pas la foi de recommencer. Maintenant que tout est prêt, il ne lui reste plus que l’assemblage. Plat posé devant lui, il part à la recherche des pâtes. Il fouille dans son sac à dos et le vide par terre, sans mettre la main dessus. Ses recherches se poursuivent donc dans le sac cabas mais là encore, rien. Mains sur les hanches, il observe ses courses étalées sur le sol en espérant y voir apparaître les pâtes. Ryan a encore des progrès à faire en termes de magie. Et comme à chaque fois qu’il a un problème, il décide d’appeler sa voisine à l’aide. Ou plutôt, de se rendre chez elle. Plutôt que de passer par la fenêtre, il agit en homme poli et civilisé et descend d’un étage pour aller frapper à sa porte. L’heure tardive explique sans doute l’absence de réponse, et Ryan devrait comprendre qu’il ne doit pas insister, mais il refuse d’abandonner ses lasagnes après plusieurs heures passées en cuisine. Donc il remonte chez lui, et utilise la porte d’entrée moins officielle, à savoir la fenêtre. D’habitude, il se contente de frapper et Amélia lui ouvre (quand elle est de bonne humeur). Ce soir, la chance est de son côté : la fenêtre n’est pas complètement fermée. Ryan ne se pose pas de question et passe ses mains dans l’ouverture pour la soulever et se faufiler à l’intérieur. Il est d’une telle souplesse qu’il s’écrase sur le sol dans un bruit sourd et en geignant. L’appartement est plongé dans le noir. Il avance à tâtillons à la recherche de l’interrupteur, non sans se prendre des meubles au passage. Quand enfin il allume la lumière, un cri de stupeur lui échappe en tombant nez à nez avec Amélia. L’instant d’après, il se prend des projectiles en pleine figure. « AÏE AÏE AÏE ! » Ryan se protège le visage du mieux qu’il peut, sans que ça ne soit vraiment suffisant.
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Amélia Livingston

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Re: Ah, there he is. That motherfucker. (Amélia)
( Lun 8 Mai - 11:27 )

Une nouvelle fois je rentrais tard du studio en étant complètement éclatée. On était en train de répéter pour la tournée en Europe et malheureusement les choses ne se passaient pas comme prévue. Avec l’absence de Jonas, les chorégraphes avaient choisis Mike pour le remplacer. Mike était un bon danseur, mais notre duo ne fonctionnait pas aussi bien que celui avec Jonas. Les chorégraphes me faisaient sans cesse la remarque que j’étais trop tendue, que je ne souriais pas assez, qu’il fallait que je fasse confiance à Mike. Le problème était là, je n’avais pas entièrement confiance en lui. Ce n’était pas de sa faute, mais j’étais trop habituée à danser avec Jonas pour réussir à changer aussi facilement. Seulement j’allais devoir prendre sur moi si je ne voulais pas perdre ma place. A peine la porte de chez moi franchie, j’étais prête à m’écrouler dans le canapé ou le lit, mais ce pauvre Maurice m’attendait après une journée seul et j’étais bien obligé de le sortir. J’essayais de faire durer la balade aussi longtemps que j’en étais physiquement capable, mais malgré tout après plus de 30 minutes à déambuler dans le parc à côté de l’appartement, il fallait que je rentre. Mon corps n’était qu’une masse de douleurs et j’allais me détendre sous la douche pendant un long moment. Je mettais rapidement un pyjama, enfin ce qui ressemblait le plus à un pyjama et je me laissais tomber dans le lit. Je ne prenais même pas la peine de manger, je n’avais plus la force pour cela. Je regardais une dernière fois mon téléphone. Il était passé 22h, c’était une heure acceptable pour rouler sous la couette et se coucher. Je sentais Maurice sauter sur le lit pour s’allonger à mes côtés et quelques minutes après je sombrais dans le sommeil.
J’étais si bien, si sereine et pourtant bien trop tôt à mon goût mon réveil sonner. A tâtons je le cherchais sur la table de chevet et en voyant l’heure, j’étais confuse de voir que cela ne faisait pas si longtemps que ça que je dormais. Et ce que j’avais pris pour mon réveil était tout simplement les couinements de Maurice. Je le caressais en espérant le calmer, jusqu’à ce que j’entendu un bruit énorme en provenance du salon et les plaintes de quelqu’un qui s’était fait mal. Il y avait un cambrioleur dans mon appartement, ou pire un voleur. Mais comment était-il entré ? La fenêtre évidemment. Je ne savais pas ce que je devais faire. J’avais peur de contacter les urgences et de trahir ma présence. Je regrettais presque la présence de Keith avec ses gros muscles, mais j’étais une femme forte, je pouvais y arriver. Je m’armais de tout ce qui me tombait sous la main et je prenais mon courage pour rejoindre le salon. Au moment où la lumière s’allumait, je fermais les yeux en criant et je balançais tout ce que j’avais dans les mains. De toute évidence je devais viser juste parce que j’entendais le cambrioleur crier également. J’ouvrais à nouveau les yeux pour découvrir que c’était Ryan qui se tenait devant moi. Je n’en revenais pas qu’il puisse s’introduire en pleine nuit chez moi. « Mais t’es complètement taré ma parole » Je m’approchais de lui et je commençais à le taper. Je ne tapais pas fort, c’était pour le principe, mais c’était mérité. « Depuis quand tu rentres chez moi sans demander la permission, t’as cru que c’était un hôtel ici ou un bordel dans lequel tu peux rentrer comme tu peux » Je le taper une dernière fois avant de m’éloigner de lui. Sur la table je trouvais un nouveau projectile et je lui balançais à la figure « Je me demandes ce que j’ai fait pour mériter un voisin comme toi » L’envie de lui balancer encore quelque chose à la tête était très tentante, mais bizarrement Ryan était plus calme, mon dernier projectile l’aurait-il tué ? Si c’était le cas, je ne doutais pas que d’ici quelques secondes j’allais l’entendre hurler à la mort.
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Re: Ah, there he is. That motherfucker. (Amélia)
( Jeu 11 Mai - 22:22 )


Ryan mesure plus ou moins la gravité de ses actes en s’introduisant chez Amélia sans son autorisation et en passant par la fenêtre. Il sait qu’il ne devrait pas, mais il le fait quand même. Le jeune homme n'essaie même pas d’être discret. Le poids de son corps s’écrase au sol dans un bruit sourd, et étant donné qu’il ne voit rien, il se cogne dans tous les meubles. A ce stade, il a probablement réveillé tout l’immeuble. Plutôt que d’agir intelligemment et faire demi-tour, Ryan pousse le vice en allumant la lumière. En entrant chez Amélia par effraction, il aurait dû se douter qu’il tomberait nez à nez avec elle. Il est après tout chez elle. Ryan se laisse malgré tout surprendre par la silhouette de la jeune femme, et à en juger par son cri, elle est toute aussi surprise que lui. Bien que pour elle, il y ait une part de logique à sa réaction. Amélia se défend et se protège en l’attaquant avant même qu’il n’ait le temps de dire quoi que ce soit. Et même s’il avait eu l’occasion de s’annoncer, il est à peu près sûr qu’elle se serait montrée toute aussi violente. Est-ce mérité ? La plupart des gens diront que oui, Ryan soutiendra que non. Amélia capte enfin qu’il n’est pas un cambrioleur. Sa colère ne retombe pas pour autant, au contraire. Ryan a comme l’impression qu’elle redouble d’intensité. Elle s’approche de lui pour le frapper et il essaye tant bien que mal d’esquiver les coups. « Mais arrête, c’toi la tarée ! » Jamais il n’aurait soupçonné autant de force dans le corps d’une danseuse. Amélia n’y va pas de main morte. Il ressent à travers ses coups tout le mépris qu’elle ressent pour lui. « Alors, je le reconnais, c’est pas très poli, » déclare Ryan en reculant d’un pas pour instaurer un périmètre de sécurité autour de sa personne. « J’ai frappé à la porte et j’ai pas eu de réponse, et ta fenêtre était ouverte. Tu devrais faire attention avant d’aller dormir. » Si elle avait vérifié cette fenêtre, elle aurait vu le danger, et Ryan ne se serait pas introduit chez elle. Malgré la distance que Ryan a pu mettre entre eux, Amélia se venge en lui jetant en pleine tête ce qui ressemble à une télécommande. Il se la prend en plein visage et sur le coup, ça le sonne vraiment. « Putain sa mère, » qu’il s’exclame en vacillant légèrement. Il se heurte au meuble derrière lui et s’y accroche alors qu’il sent une vive douleur irradier son arcade sourcilière. Il porte machinalement ses doigts à sa blessure et constate qu’il saigne. « J’me sens pas très bien. » Ryan ignore si c’est la vue du sang qui le perturbe, ou plutôt la douleur. Quoi qu’il en soit, il fait quelques pas sur le côté et se laisse tomber sur le canapé. « Si jamais je meurs sur ton canapé, tu pourras t’occuper de mes plantes s’il te plaît ? » Oui, Ryan exagère un peu. Il y a peu de chances pour qu’il meurt vraiment. Il n’empêche que le choc a été violent et plus il touche sa blessure de guerre, plus il a l’impression de se vider de son sang.
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Re: Ah, there he is. That motherfucker. (Amélia)
( Ven 12 Mai - 16:54 )

En attendant tout ce bruit dans le salon je ne savais pas à quoi m’attendre et pour allumer la lumière de la sorte je devais sûrement faire face au voleur le plus stupide de la terre, mais pourtant j’étais quand même surprise et ma réaction logique était de balancer ce que je pouvais pour éloigner l’individu. Jusqu’à ce que je reconnaisse le dit individu en la personne de mon charmant voisin Ryan. Mes envies de meurtres étaient intenses et je m’approchais de lui pour tout simplement le frapper en l’insultant de tous les noms d’oiseaux qui me venaient à l’esprit. Il avait confondu mon appartement avec un hôtel de passe et je n’appréciais pas trop cela. Pire encore il insinuait que c’était de ma faute parce que j’avais laissé ma fenêtre ouverte. « Ce n’est pas parce que j’ai oublié de la fermer qu’il fallait y voir une invitation. Si les gens ne répondent pas quand tu frappent à la porte c’est simplement qu’ils ne sont pas là ou qu’ils dorment et dans ce cas tu rentres simplement chez toi » En quoi c’était compliqué de comprendre cette règles de bienséance ? Ce n’était pas comme si je lui demandais de porter des chaussons ou autre, non juste de pas s’introduire chez moi. Et parce qu’il le méritait je lui jetais un dernier projectile à la figure et de toute évidence je savais encore viser juste. Il vacillait avant de se tenir à un meuble en disant ne pas se sentir bien. « Non Ryan, je t’interdis de tomber dans les pommes dans mon appartement. N’essaye pas une nouvelle ruse avec moi » Sauf que ce n’était pas du tout une ruse, avec la télécommande je l’avais touché à l’arcade et cela saigné beaucoup. Il se laissait tomber dans le canapé et je levais les yeux au ciel quand il parlait de mourir et que je devais m’occuper de ses plantes. « Tu ne vas pas mourir Ryan, cesse de faire ta Drama Queen » Pourtant je m’approchais quand même de lui pour voir l’état de sa blessure. « Ca n’a pas l’air très profond, tu vas pas avoir besoin d’un arrêt aux urgences je pense » Je n’étais pas une experte, mais ça avait l’air d’aller en tout cas. « Tu vas réussi à marcher jusqu’à la salle de bain ? » Je n’en doutais pas, mais avec Ryan je me méfiais quand même. Je tirais sur ses mains pour qu’il se lèvre du canapé et je ne savais pas s’il en rajoutait ou si c’était réel, mais il titubait une nouvelle fois et je me mettais à côté de lui pour le soutenir. « Tu seras gentil de ne pas mettre du sang partout s’il te plait, c’est chiant à nettoyer » Je le guidais jusqu’à la salle de bain et je le faisais asseoir sur les toilettes. « Encore une fois ne meure pas s’il te plaît, j’ai pas envie d’aller en prison pour meurtre » Même si techniquement c’était de la légitime défense. Mais Keith m’avait déjà raconté à quel point c’était horrible et je n’avais pas envie de tenter l’expérience.
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Re: Ah, there he is. That motherfucker. (Amélia)
( Mer 17 Mai - 20:28 )


Amélia prend la peine de lui expliquer un concept de base : si personne ne lui ouvre la porte, entrer par effraction n’est pas une option. Il s’agit d’un concept simple, plutôt facile à comprendre en principe. Pourtant, Ryan la regarde d’un air complètement absent et il fait semblant de ne pas comprendre le reproche. « Je faisais des lasagnes, j’ai oublié d’acheter les pâtes, » explique-t-il, comme si cette justification pouvait excuser sa connerie. Pour laquelle il ne se sent pas particulièrement désolé, d’ailleurs, un peu trop habitué à s’introduire chez Amélia par la fenêtre quand bon lui semble. Ce n’est pas la première fois qu’il utilise cette porte d’entrée secondaire, et ce n’est probablement pas la dernière fois non plus malgré la colère de la blonde qui se traduit par une violence physique. Ryan aurait pu prédire qu’elle n’allait pas être très contente de le voir, mais il ne pensait pas qu’elle le frapperait autant. Il parvient plus ou moins à se protéger et à esquiver les coups, jusqu’à ce qu’elle se calme pour mieux l’achever avec une télécommande. La douleur est immédiate. Elle part de son arcade sourcilière et résonne dans tout son corps. Amélia l’accuse de tenter une nouvelle ruse et il réagit à peine, bien trop préoccupé par le sang qu’il remarque sur le bout de ses doigts. Il se laisse tomber sur le canapé de la blonde en exagérant légèrement la situation. « Qu’est-ce que t’en sais que j’vais pas mourir ? T’es pas médecin que je sache. » Amélia s’approche de lui pour évaluer la gravité de la blessure et en conclut que ce n’est pas assez profond pour qu’il meurt. Un petit sourire étire ses lèvres quand elle lui demande de se déplacer jusqu’à la salle de bain. « T’es pas médecin, mais tu veux jouer les infirmières. » Qu’elle prenne soin de lui le fait doucement rire. Avant qu’elle ne change d’avis, Ryan glisse ses mains dans celles d’Amelia et s’en aide pour se relever. « T’as les mains douces. » Il arrive à avancer même s’il a l’impression d’avoir perdu l’équilibre. Pour le coup, il ne sait pas si c’est à cause de sa blessure ou du joint qu’il a fumé juste avant de venir. Ryan garde le silence à ce sujet, prenant appui sur Amélia pour marcher sans tomber. « T’es un monstre Amélia. Je me vide de mon sang à cause de toi j’te signale. » Donc s’il met du sang partout, elle ne pourra s’en prendre qu’à elle-même. Une fois dans la salle de bain, il s’assoit sur la cuvette des toilettes et attend gentiment. « Ça serait mérité pourtant. » Ryan s’attend à des gestes doux et délicats, mais Amélia semble déterminée à lui faire encore plus mal. Après avoir imbibé un coton de désinfectant, elle le presse contre son arcade sans le prévenir et avec un élan de brutalité. « AÏE ! » Il a un mouvement de recul, ce qui n’empêche pas Amélia de revenir à la charge avec son coton meurtrier. Ryan exprime toute sa douleur par des gémissements et des grimaces. Il finit par attraper ses poignets avec fermeté pour qu’elle cesse. « Un jour les flics vont venir chez moi et m’annoncer que t’as caché les corps d’une dizaine d’hommes au sous-sol et j’serais même pas étonné. » Ryan relâche finalement la pression autour de ses poignets, sans pour autant se détendre. Les gestes d’Amelia s’adoucissent au moins un peu, même si par moment elle prend un malin plaisir à insister plus que de raison. « J’vais avoir une cicatrice ? » qu’il demande en la regardant.
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Re: Ah, there he is. That motherfucker. (Amélia)
( Ven 19 Mai - 12:02 )

Que Ryan ai voulu danser la samba ou faire des lasagnes cela m’importait peu, j’aimerais simplement qu’il perde cette habitude qu’il avait pris de rentrer chez moi par la fenêtre. Alors j’estimais que le frapper et lui balancer une télécommande au visage était un moindre mal. Sauf que j’avais un peu trop visé et j’avais atteint Ryan à l’arcade et je ne savais pas si c’était une nouvelle ruse de sa part, mais il semblait fébrile. Il se laissait tomber dans le canapé et de suite il envisageait le pire en imaginant qu’il allait mourir. Je levais les yeux au ciel avant de m’approcher de lui et de lui assurer qu’il n’allait pas mourir. « Non je suis pas médecin effectivement, mais tu risque pas de te vider de ton sang avec une si petite blessure » Ou alors il faudrait des heures et des heures sans manger ni boire, mais j’avais des doutes sur le fait que ça puisse arriver. Et parce que je me sentais un peu coupable quand même, je lui demandais s’il arriverait à aller jusqu’à la salle de bain. « Range tes fantasmes Palmer, je suis loin d’être une infirmière douce et patiente » Et il allait vite s’en rendre compte. Il prenait les mains que je lui tendais pour se relever et je souriais de sa remarque sur mes mains « Merci bien » Vu comment j’en prenais soin, j’espérais bien que mes mains soient douces. Parce qu’il avait un équilibre précaire, je l’aidais à marcher jusqu’à la salle de bain, lui demandant au passage de ne pas mettre du sang partout et tout de suite j’étais qualifié de monstre. « Alors non Ryan, si tu te vides de ton sang c’est parce que tu es rentré chez moi sans permission » Tout cela ne serait pas arrivé s’il n’était pas passé la fenêtre. Une fois dans la salle de bain je l’asseyais sur les toilettes, lui demandant quand même de ne pas mourir et je lui lançais un regard noir quand il disait que ça serait mérité, suivi d’un sourire sadique quand je pressais le coton imbibé de désinfectant sur son arcade. Le cri et le mouvement de recul qu’il avait été très satisfaisant « C’est pour avoir dit que la prison serait mérité » Oui j’étais sadique avec Ryan et je l’assumais complètement. Je continuais à appuyer avec plus ou moins de force sur sa blessure, jusqu’à ce qu’il attrape mes poignets pour que je cesse tout mouvement. « T’exagère quand même. Il faudrait déjà que tu puisses voir défiler des dizaines d’hommes chez moi. Et j’ai pas l’âme d’une tueuse en série » Au fond j’étais un petit bébé chat qui aimait les mangas et les comédies romantiques. Rien à voir avec une mangeuse et tueuse d’homme. Ryan finissait par me relâcher, même si je sentais qu’il n’était pas détendu. J’essayais de me montrer un peu plus douce dans mes mouvements. A sa question, je baisser mon regard vers le sien avant de regarder son arcade « Non je pense pas que t’aura une cicatrice » La blessure n’avait vraiment pas l’air assez sérieuse pour cela. « Après si t’en veux vraiment une, tu sais qu’on peut s’arranger » Une porte qui cognait un peu fort, ou une rencontre malencontreuse avec un objet plus gros qu’une télécommande. « Me regarde pas comme ça, je vais pas te faire de mal » Le passage à l’action était quand même plus difficile que les paroles « J’ai plus qu’à mettre un pansement et tu seras presque tout neuf » Je me détournais de lui et je fouillais dans les armoires à la recherche de pansements que je ne trouvais pas. « Okay bouge pas, ils sont dans ma chambre » Je l’abandonnais quelques secondes pour revenir aussi vite et lui appliquer le pansement. « On pourrait presque dire que t’as un style rebelle avec ton joli pansement » J’étais d’ailleurs déçue que ce ne soit pas un pansement avec des animaux, il aurait été parfait avec ça. « Tu vas t’en remettre ? Tu veux quelque chose à boire pour reprendre des forces ? » Je m’en voudrais qu’il tombe dans l’escalier de secours et se fasse encore plus mal, parce qu’à n’en pas douter, il ne rentrerait pas chez lui par la porte d’entrée.
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